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Crédits : Philippe Desmazes (AFP)

Crédits : Philippe Desmazes (AFP)

D'après l'ADEME (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie), en moyenne, 80 % du Bilan Carbone d’un événement est lié au transport des biens (livraisons des produits, acheminement du matériel…) et des participants (organisateurs, artistes, public…).

Les nuisances sont multiples : consommation d'énergies fossiles non-renouvelables, pollution atmosphérique, bruit, encombrement, réchauffement des centre-villes.

L'objectif est simple : réduire le plus possible les déplacements en voiture ou en camion.


Des choix éclairés peuvent contribuer à réduire cet impact :

  • En favorisant les déplacements doux (métro, tramway, train, bus, vélo...) par une communication des informations pratiques nécessaires (itinéraires, arrêts des transports en commun) ou une tarification préférentielle (tarif réduit sur présentation d'un titre de transport par exemple).
     
  • En mettant en place un système de transport comme des navettes, la location de vélos ou la mise en place d'un espace de co-voiturage


En ce qui concerne cette fois, le transport des éléments scénographiques et celui des monteurs d'exposition, il existe aussi plusieurs solutions :

  • En privilégiant le transport à plat des éléments scénographiques afin de réduire les volumes (mobilier à assembler sur place)
     
  • En favorisant le groupage et l'optimisation des transports (un camion plein plutôt que plusieurs petits voyages à moitié vide)
     
  • En fabriquant, en particulier pour les aménagements, les cloisons d'exposition et le mobilier simple, le plus possible sur place
     
  • En incitant les intervenants à prendre les transports en commun pour se rendre sur site (train, hébergement sur place)

Sources : ADEME

 

Tag(s) : #Développement durable
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